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jihemjiLe 05/10/2006 à 11:46
Après avoir débuté dans les cabarets de la Butte Montmartre,Stéphane Varègues enregistre en 65 ses premiers disques chez Decca:"Le cavalier","Le gigolo" et le 25cm "Nous les blousons blancs".
Suivent en 66 les 45T EP "La complainte du fusillé/Le hit-parade …" et "Avec les beatnicks/Le jerk infernal…".
Il participe en 67 à la Rose d'Or d'Antibes avec "Le chanteur affamé" qui sort en 45T avec "Le Pape du pop".
Il compose et chante "Le tango sénile","Léontine" et "L'ordinateur" pour la B.O. du film de M.Audiard "Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages" (68).
Dans les années 70 sort chez Canetti le 33T "Je vous salis ma vie de Boris Vian et 10 autres chansons inédites".
Il compose aussi des musiques pour le film "Le piège à cons" de Mocky (79) et plusieurs séries télévisées:"Reinefeuille"(74) … .
En 85,il met en musique et chante des textes de Vian,Céline et Prévert dans le spectacle "La Ligne Marginaux" présenté au théâtre du Lucernaire.
andreasyLe 03/05/2012 à 15:57
Trop couleur jazz et trop littéraire pour les yéyés et les rockeus, mais trop tendance "musique jeune" pour les amateurs de chanson française et les jazzeux (pas très amateurs de chanson), il semblerait qu'il ait cherché à conquérir un public (suffisamment évolué sans pour autant être "prise de tête) qui aurait pu naviguer entre ces 2 tendances. Il possédait des atouts, une voix, du punch et de l'humour (Beaucoup de dérision) mais n'a jamais pu trouver vraiment son public. Même lorsqu'il a chanté Boris Vian (avec qui pourtant il possédait de nombreux points communs), Jean-Pierre Andrevon écrivait pour la revue P.M : "…Varègues tourne autour de son sujet, avec du punch et de la verve…. mais sans réussir à convaincre totalement, même s'il s'amuse…" .
Je note dans son premier 25 cm une très bonne chanson : Berlin (à propos du mur) - dans la pure (et la meilleure) tradition "chanson française".
Trocol HarumLe 10/03/2023 à 05:03
De 1958 à 1960, il se produit sous le nom de Serge Lenormand.
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Après avoir débuté dans les cabarets de la Butte Montmartre,Stéphane Varègues enregistre en 65 ses premiers disques chez Decca:"Le cavalier","Le gigolo" et le 25cm "Nous les blousons blancs".
Suivent en 66 les 45T EP "La complainte du fusillé/Le hit-parade …" et "Avec les beatnicks/Le jerk infernal…".
Il participe en 67 à la Rose d'Or d'Antibes avec "Le chanteur affamé" qui sort en 45T avec "Le Pape du pop".
Il compose et chante "Le tango sénile","Léontine" et "L'ordinateur" pour la B.O. du film de M.Audiard "Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages" (68).
Dans les années 70 sort chez Canetti le 33T "Je vous salis ma vie de Boris Vian et 10 autres chansons inédites".
Il compose aussi des musiques pour le film "Le piège à cons" de Mocky (79) et plusieurs séries télévisées:"Reinefeuille"(74) … .
En 85,il met en musique et chante des textes de Vian,Céline et Prévert dans le spectacle "La Ligne Marginaux" présenté au théâtre du Lucernaire.
Trop couleur jazz et trop littéraire pour les yéyés et les rockeus, mais trop tendance "musique jeune" pour les amateurs de chanson française et les jazzeux (pas très amateurs de chanson), il semblerait qu'il ait cherché à conquérir un public (suffisamment évolué sans pour autant être "prise de tête) qui aurait pu naviguer entre ces 2 tendances. Il possédait des atouts, une voix, du punch et de l'humour (Beaucoup de dérision) mais n'a jamais pu trouver vraiment son public. Même lorsqu'il a chanté Boris Vian (avec qui pourtant il possédait de nombreux points communs), Jean-Pierre Andrevon écrivait pour la revue P.M : "…Varègues tourne autour de son sujet, avec du punch et de la verve…. mais sans réussir à convaincre totalement, même s'il s'amuse…" .
Je note dans son premier 25 cm une très bonne chanson : Berlin (à propos du mur) - dans la pure (et la meilleure) tradition "chanson française".
De 1958 à 1960, il se produit sous le nom de Serge Lenormand.
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