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A dashing horse with speed of light
A galloping steed running through the night
A hearty cry is heard (Aaaaaaah)
Florence of Arabia
Get a load of her
High upon her trusted stud (Steed) Steed
That was all she'd ever need
Florence was so mystifying
She was always flying (?)
With her turban and her noose
(That's a garment that hangs loose)
Out on the desert, up on the sand
Florence would ride off leading her band
[…]
(She would call often being hot and so […])
If you would leave your tent flap open
You would awake to find her groping
Into the dark to reach your side
(She only wants to be your bride)
Majestic Florence of Arabia
Get a load of her
She's the queen of Khyber Pass
(An exotic little lass)
(Florence would hide out among the hills (?))
(That's where you'd find her most afternoons)
(If you should wonder into her camp)
(Inside her tent there'd burn a lamp)
So brightly
But if you're smart, stay far away
It is unsafe, by night or by day
Men have gone there and never come back
(They're victims of a rear attack)
Be careful
Florence
She was not as prissy
As that […] sissy
Who converted (?) over Spain
(Camping all alone's insane)
There was Sodom and Gomorrah
(Deep in the casbah wherein she lurched)
(Among the Arabs, among the Turks)
(Strapped to her thigh a sharp scimitar)
A gift from someone named Omar
(Praised Allah)
(If she should get you into a corner)
(Better give in or else you're a goner)
(Give her your love or give her your life)
(It's better than that curvy knife)
It's painless
Florence
She was so exciting
(Also quite erotic)
All the Arabs were perplexed
Each one thought that they'd be next
(She was highly oversexed)
Florence (Love) of Arabia (Love baby)
(I love….) Get a load of her (I love….)
High upon her trusted stud (Steed) Steed
That was all she'd ever need
'Cause she's the freak of Arabi (Aaaaaaah)
Transcripteur : mds75
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Commentaires
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4 commentaires
scaracrabeLe 13/11/2018 à 11:46
Bah… Trocol, je trouve pas cela inécoutable du tout. C'est… euh particulier mais parfaitement audible et rigolo.
zebuwinLe 15/11/2018 à 07:51
Eh… c'est la mélodie du couplet de « L'amour à la plage » de Niagara, ça !
hre mgbyeLe 30/11/2018 à 16:05
Analysons si vous le voulez bien chers petits amis cette somptueuse pochette : dessin représente un bras manifestement masculin car velu, mais bagué et tenant un mouchoir de manière fort snob (petit doigt en l'air) et/ou féminine. Un titre en anglais qui peut signifier « La reine est dans le placard » ou « La tarlouze se cache ». En gros, ça sent la bonne grosse rigolade sur le dos de nos frères invertis, pour ne pas dire les tantouzes, les follasses et autres pédés comme ça se faisait sans complexe à l'époque.
Bref, c'est quoi ?
FauvelusLe 22/01/2019 à 09:32
Eh bien, cher Hre, il s'agit en quelque sorte d'auto-dérision, puisque cette série de disques due à un mystérieux label californien "Different Music" était vendue par correspondance dans les premiers magazines américains ouvertement destinés à un public gay. Ces disques avec des titres aussi variés que « I'm so wet (The shower song) », « London derriere » ou « Homer the happy little homo », parodiant des chansons populaires ou des standards à la mode, utilisaient un humour de connivence à base de jeux de mots à double sens et d'argot du milieu homosexuel. Sous couvert d'"humour rabelaisien" (sic), ces disques participaient à l'émergence d'une forme de contre-culture gay qui commençait à prendre son essor à cette époque.
Aucun des participants de ces enregistrements n'était identifié (la pochette assure cependant que les oreilles aiguisées sauront reconnaître certains interprètes bien connus). Précisons que le "Rodney Dangerfield" dont il est question ici, n'a rien à voir avec l'humoriste homonyme bien connu, ce nom étant un pseudonyme récurrent chez les comiques de cabaret américain (à la manière d'Alan Smithee au cinéma).
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Bah… Trocol, je trouve pas cela inécoutable du tout. C'est… euh particulier mais parfaitement audible et rigolo.
Eh… c'est la mélodie du couplet de « L'amour à la plage » de Niagara, ça !
Analysons si vous le voulez bien chers petits amis cette somptueuse pochette : dessin représente un bras manifestement masculin car velu, mais bagué et tenant un mouchoir de manière fort snob (petit doigt en l'air) et/ou féminine. Un titre en anglais qui peut signifier « La reine est dans le placard » ou « La tarlouze se cache ». En gros, ça sent la bonne grosse rigolade sur le dos de nos frères invertis, pour ne pas dire les tantouzes, les follasses et autres pédés comme ça se faisait sans complexe à l'époque.
Bref, c'est quoi ?
Eh bien, cher Hre, il s'agit en quelque sorte d'auto-dérision, puisque cette série de disques due à un mystérieux label californien "Different Music" était vendue par correspondance dans les premiers magazines américains ouvertement destinés à un public gay. Ces disques avec des titres aussi variés que « I'm so wet (The shower song) », « London derriere » ou « Homer the happy little homo », parodiant des chansons populaires ou des standards à la mode, utilisaient un humour de connivence à base de jeux de mots à double sens et d'argot du milieu homosexuel. Sous couvert d'"humour rabelaisien" (sic), ces disques participaient à l'émergence d'une forme de contre-culture gay qui commençait à prendre son essor à cette époque.
Aucun des participants de ces enregistrements n'était identifié (la pochette assure cependant que les oreilles aiguisées sauront reconnaître certains interprètes bien connus). Précisons que le "Rodney Dangerfield" dont il est question ici, n'a rien à voir avec l'humoriste homonyme bien connu, ce nom étant un pseudonyme récurrent chez les comiques de cabaret américain (à la manière d'Alan Smithee au cinéma).
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