Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu du site, les annonces publicitaires et d'analyser notre trafic.
Nous partageons également des informations avec nos partenaires, de publicité ou d'analyse
mais aucune de vos données personnelles (e-mail, login).
Le soleil couchant rougit l'horizon qui se fond avec la nuit
Le vent s'est calmé dans la maison je ne sens battre que ma vie
Comme une hirondelle elle est partie avec l'été laissant mon cœur en hiver
Elle était la plus belle des fleurs que le printemps avait su faire
Le feu s'éteint doucement dessinant l'ombre de la cheminée
La neige va recouvrir les champs la montagne va se cacher
Je caresse de mes doigts le souvenir de son corps qui se cambre sous mes mains
Si ce n'est ma solitude, d'elle il ne me reste plus rien
Pour l'oublier il faudra plus de temps que m'en donnera ma vie
Chaque jour ici comme mon cœur gardera son empreinte pour toujours
Et son rire s'est gravé dans le vent comme l'oiseau blanc de l'amour
Il faudra bien des printemps pour que le ciel déchire les nuages de ma vie
Une hirondelle revient toujours mais jamais ne revient l'amour
Pour l'oublier il faudra plus de temps que m'en donnera ma vie
Il faudra bien des printemps pour que le ciel déchire les nuages de ma vie
Une hirondelle revient toujours mais jamais ne revient l'amour
Pour l'oublier il faudra plus de temps que m'en donnera ma vie
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Commentaires
Voir tous les commentaires
Pas de commentaires !
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !