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Un décès me rendra toujours triste, sauf quand il s'agira de celui de Vladimir Poutine ou de Jean-Marie Le Pen.
Elkabbach était surtout un journaliste proche du pouvoir et on retiendra toujours sa mine déconfite le soir du 10 mai 1981 à l'annonce d'une certaine victoire présidentielle.
Mais moi, le dernier décès en date pour lequel je suis toujours en deuil, c'est toujours bien celui de Jane Birkin. Eternellement dans mon cœur. Mon cœur parfois lourd. Mais qui, de temps en temps est léger. Mais malheureusement, ce n'est pas ces jours là que j'ai le plus envie de me confier.
Malheureusement, il n'a jamais chanté. Je dis cela, parce qu'effectivement, hier, 2 octobre 2023, cela faisait précisément que j'étais allé voir Jane Birkin le 2 octobre 2003 dans ma ville La Roche-Sur-Yon, pour sa tournée "Arabesques".
Malheureusement, dans la salle du Manège, où, si un bidonaute vient comme moi de La Roche-Sur-Yon, je déconseille fortement de prendre les places du balcon.
Voir un concert de près de deux heures tout en plongée, ça vous donne le vertige toute la nuit qui suit. Et la nuit dernière, donc plus de deux mois après le décès de Jane Birkin, j'ai rêvé que je retournais la voir en concert, dans de meilleures conditions.