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Ah ben a dit : chauffe toè donc ben hardiment
Mon mari est au Rapide-Blanc
Y a des hommes de rien qui s'chauffent et pis qui s'chauffent
Y a des hommes de rien qui s'chauffent pis ça fait rien
Y a des hommes de rien qui s'chauffent et pis qui s'chauffent
Y a des hommes de rien qui s'chauffent pis ça fait rien
Ah ben a dit: mangez donc ben hardiment
Mon mari est au Rapide-Blanc
Y a des hommes de rien qui mangent et pis qui mangent
Y a des hommes de rien qui mangent pis ça fait rien
Y a des hommes de rien qui mangent et pis qui mangent
Y a des hommes de rien qui mangent pis ça fait rien
Ah ben a dit : fous ton camp ben hardiment
Mon mari est au Rapide-Blanc
Y a des hommes de rien qui m'embrassent et qui s'en vont
Y a des hommes de rien qui s'en vont pis qui font rien
Y a des hommes de rien qui s'en vont pis qui s'en vont
Y a des hommes de rien qui s'en vont et qui font rien
Y a des hommes de rien qui s'en vont pis qui s'en vont
Y a des hommes de rien qui s'en vont et qui font rien
Y a des hommes de rien qui s'en vont pis qui s'en vont
Y a des hommes de rien qui s'en vont et qui font rien
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Adaptation d'une chanson traditionnelle québécoise dont les origines remontent au XVIIe siècle. Le chanteur Oscar Thiffault, qui la connaissait de tradition familiale, remplaça prudemment l'allusion originale à un "moine blanc" par l'évocation du barrage du Rapide-Blanc, sur la rivière Saint-Maurice, et enregistra le morceau en 1954 avec un certain succès. De passage dans les locaux de la radio montréalaise CKLV, Marcel Amont l'entendit par hasard et décida de l'ajouter à son tour de chant.
On notera en outre que Marcel Amont termine le morceau par une "turlutte" empruntée à la chanson "Les Maringouins" de la Bolduc.
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