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On nous disait de faibles femmes
Ils s'fourent le doigt dans l'œil
Ils s'fourent le doigt dans l'œil
On nous disait de faibles femmes
Mais nous on a pas peur pour notre portefeuille
Ils pensent s'en aller les poches pleines
Mais nous on veille au grain
Mais nous on veille au grain
Ils pensent s'en aller les poches pleines
Mais c'est sous-estimer les femmes boraines.
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Les paroles sont sur le poster. [Merci ! (J'étais trop fainéant pour les recopier moi-même… (LSS)]
Juste avant le texte proprement dit
Siemens Baudour (x3)
Siemens Baudour ne périra pas
Puis j'ai fait une faute de frappe : il nous laisse dans les choux. [Corrigé, merci !]
PRESENTATION
Cette chanson est en fait interprétée par Christiane Stefanski et d'autres femmes au sein du Théâtre du Copion, créé lors de cet évènement. Elle est sans doute composée par Michel Gilbert, qui lui écrira d'autres chansons sur cette fermeture.
La ville de Baudour a fusionné en 1977 avec d'autres villes pour être désormais Saint-Ghislain. C'est ici qu'est né Michel Daerden, socialiste connu pour son bonhommie, pour ne pas dire son "petit coup de trop" public.
Aaaah, enfin un air bien de chez moi ;) Même si je suis plus familier de la ptite gayole :p
Je n'arrive pas à retrouver la belle voix de Christiane Stefanski là -dedans !
Les ouvrières de Siemens à Baudour sont accompagnées par le GAM (Groupe d'Action Musicale) qui avait sorti avec les travailleurs de Bouffioulx en 1974 un autre 45tours présent dans la base de B&M.
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