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Quand j'vais z'à la fête
J'me pince les pommettes
Pour avoir l'air chouette
J'me passe les seins
Au ripolin
Je masse les fesses
Au lait d'ânesse
Quand j'vais z'à la fête
Je m'donne des tapettes
Avec une raquette
Je m'peins la bouche
En poire à douche
J'me pends des groseilles
Aux lobes de l'oreille
Et des roudoudous
Tout autour du cou
Ça y est, c'est fini
J'suis la plus jolie
Tant pis pour Adèle
C'est moi la plus belle
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Pourquoi des paroles aussi laides que la ton forcé de la voix à un visage pas si ingrat : [merci !]
Ça mériterait d'être repris ! (Ne serait-ce qu'en tant que chanson estudiantine…)
Plutôt l'impression qu'elle fait la Tête que la Fête.
Elle chante un peu faux. Au début, j'ai encore cru à Ginette Cousso ou Daphnièle.
Que se peint-elle au Ripolin, au juste ? Les siens, certes, mais les siens quoi ? Ne s'agirait-il pas plutôt de ses seins ?
Je dis ça comme ça, hein, n'allez pas croire que j'ai l'esprit mal tourné.
D'ailleurs, cher Claude, je pense qu'elle se
passe les seins
au Ripolin, et qu'elle se
masse les fesses
au lait d'ânesse.
Incidemment, prouvant une fois de plus mon altruisme proverbial, voire légendaire, je me proposerais volontiers pour le lui faire à sa place.
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