Colchiques dans les prés fleurissent, fleurissent
Colchiques dans les prés, c'est la fin de l'été
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant
Nuages dans le ciel, s'étirent, s'étirent
Nuages dans le ciel s'étirent comme une aile
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone, tombe en tourbillonnant
Chataignes dans les bois, se fendent, se fendent,
Chataignes dans les bois, se fendent sous nos pas
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant
Et ce chant dans mon cœur, murmure, murmure
Et ce chant dans mon cœur appelle le bonheur
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant
Transcripteur : hre mgbye |
Ça faisait longtemps que je cherchais un morceau de Cabrel à intégrer dans la base, ne serait-ce que parce qu'il était un des derniers « grands » de la chanson française à ne pas avoir cet honneur, et aussi un peu pour faire plaisir à tous ses fans (Yvesson, par exemple), sans trouver d'idée. Et finalement, pourquoi cette chanson ? Elle n'a rien de bien offensif, mais elle est par contre représentative des difficultés qu'un artiste peut rencontrer en début de carrière : en effet, on peut se demander quelle est la part de volonté de Cabrel dans la décision d'enregistrer cette comptine, et combien vient de sa maison de disque; par ailleurs, il a rapidement dénoncé la production sucrée de ce premier album, et la volonté de sa maison de disques de raboter son accent du sud-ouest, quasiment imperceptible ici.
Au final, une chanson quasiment anonyme, ça pourraît être chanté par n'importe qui.
Je lui ai toujours trouvé des côtés boy-scout, à ce garçon ; même s'il s'en défend.
C'est surtout une chanson qu'on apprend à l'école, rien de plus désormais ! Mais je suis bien contente d'avoir un Cabrel dans la base !
Toutoune qui revient dire bonjour sur Bide le jour même où l'on intègre du Cabrel dans la base ? Un hasard, sans nul doute.
Grand succès des chansons scoutes, créée en 1943 par deux Chefs Guides de France Jacqueline Debatte et Francine Cockenpot.
S'appeler Cockenpot en 1943, une quinzaine d'années avant la sortie de l'album de Tintin, relève de ce que les oulipiens appelleraient un plagiat par anticipation… Kent, lui, assume, en se faisant appeler Kent Cokenstock !
En 2011, cette chanson de Cabrel de 1977 a un ressort comique inouï. Francis, t'es un sacré rigolo .
Je vois surtout une mémé qui déambule dans un supermarché avec un paquet de papier toilette sur la joue !
sur le coup j'ai cru que c'était charden j'ai été surpris de lire cabrel il chante bien et c'est une belle chanson moi j'adore bien que je n'aime pas du tout cabrel
Malheureusement, je suis dans le même cas irrécupérable qu'aeroviking. La publicité a détruit mon cerveau.
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