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Et je joue la mère heureuse (« Et je joue la mère heureuse »)
Quand l'enfant vient le samedi (« Quand l'enfant vient le samedi »)
Je l'embrasse toujours rieuse
Ne montrant pas mes ennuis (« Surtout pas mes ennuis »)
Vingt minutes c'est peu de choses (« C'est vraiment peu de choses »)
Pour sourire à son enfant
Le silence c'est peu de choses
Et je cache mes tourments (« Et je cache mes tourments »)
Dean MartinLe 03/07/2021
Super les petits commentaires d'Elie Semoun derrière !
ça donne un certain style, de prendre une telle vedette pour un album !
Dites-moi que c'est une parodie ! Enfin, c'est encore meilleur si ce n'en est pas une.
Une voix gonflée à l'hélium !!
Un flingue, donnez-moi un flingue ! Les paroles (avec l'effet des échos): [Merci !] ♫
Une des chansons les plus tristes que j'aie jamais entendues…
C'est du François Pérusse, non ?
Pas de doute, ça vient du Nord !
On souhaiterait à bien des grand-mères d'avoir autant de pêche au soir de leur vie !
abbey_road j'ai pensé à François Pérusse aussi, j'hésitais entre lui et Sim :)
Oh ! mon dieu !!!
A mon sens, cette œuvre cache une grande souffrance…
mon dieu… priez pour nous… empêchez nous de sauter par sa fenêtre ouverte… pour qu'on lui fasse la peau.
Je plains son « enfant » pogner pour allez la voir tous les samedis " !
Ah elle est prodigieuse ! Premier morceau choisit au hasard… Tout est géniale, de la pochette jusqu'à la fin de la chanson !
J'avoue ne pas bien comprendre le texte : le premier couplet, c'est la joie de la vieille dame que son enfant vient visiter vingt minutes par semaines dans sa maison de retraite. Mais le refrain souffle un vent différent : la vieille dame va mal, depuis trente ans (à priori, une maladie grave mais à évolution lente). Le deuxième couplet est la synthèse : elle fait semblant d'être heureuse pour son enfant. Jusque là ça se tient. Et puis soudain, ça bascule dans le drame : le mal qui travaille cette pauvre femme, c'est qu'elle doit faire carrière dans la chanson ! On devine l'angoisse, les tournées, les fans, tout ça…
On espère pour elle que tout s'est bien terminé et qu'elle a fini ses jours dans son hospice plutôt que sur scène (à priori vu que personne n'a jamais entendu parler d'elle avant nous, le pronostique semble bon), et on la remercie tout de même d'avoir enregistré ce morceau époustouflant !
Comme hre, j'ai l'impression qu'elle évoque en filigrane une longue maladie à un moment. Mais c'est vrai que le texte est tellement confus et barré qu'on devrait ne pas trop chercher à comprendre…
L'interprétation qui oscille entre un Cloclone et François Pérusse (avant l'heure j"imagine ?) est ahurissante.
Super les petits commentaires d'Elie Semoun derrière !
ça donne un certain style, de prendre une telle vedette pour un album !
Très bonne cette chanson de François Pérusse!!!!
Bon sang ! Elle est sous acide, ou quoi ?
Cette mystérieuse "Monia" qui l'appelle pour passer à la radio pourrait être une référence à Ramona dite Mona Gruson, fondatrice avec son mari Joël, de Radio Mona, une radio libre d'Armentières, créée en 1981 et toujours active aujourd'hui.
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