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Way down in Louisiana, down the New Orleans
Way back up on the woods among the Evergreens
There stood a log cabin made of earth and wood
Where lived a country boy named Johnny B Goode
Who'd never, ever learned to read or write so well
He could play a guitar just like he's ringin' a bell
He used to carry his guitar in a gunny sack
And sit beneath the trees by the railroad track
The engineers could see him sittin' in the shade
Strummin' to the rhythm that the driver made
The people passing by you know they stop and say
"Oh, my, that little country boy sure could play"
Well his mama told him, "One day you will be a man
And you will be the leader of a big old band
People gonna come from miles around
To listen to you play till the sun goes down
And one day maybe your name gonna be in lights
A-sayin' 'Johnny B Goode tonight'"
J'avais à l'origine l'intention d'intégrer ce morceau issu de la bande originale du film "Retour vers le futur" (et discrètement sorti en 45 tours) le 21 octobre 2015 pour fêter l'arrivée de Marty McFly dans notre époque… mais l'idée m'était passée. La mort de Chuck Berry m'en redonne l'occasion.
Nom de Zeuuuuuuuus, quelle bonne idée.
Parmi les adaptations françaises de "Johnny B. Good" de Chuck Berry, il y a celle des Chaussettes Noires sous le titre "Eddy sois bon" et celle de Johnny Hallyday sous le titre "Johnny reviens" en solo ou en duo avec Carl Perkins et accompagné par les Stray Cats ainsi que celle d'Eddy Mitchell ou de Jean-Louis Bergerin sous le titre "Bye bye Johnny B. Goode" sans oublier celle de Patrick Topaloff, "Ali be good".
Pour les nombreuses adaptations en anglais, figurent celles des Beatles, des Rolling Stones, des Who, d'Elvis Presley et des Beach Boys.
Les cinéphiles préfèreront la version de Marty McFly with the Starlighters (Retour vers le futur).
La chanson de Louis Jordan and His Tympany Five intitulée "Ain't That Just Like a Woman" a fortement inspiré Chuck Berry lors de la composition de "Johnny B. Goode" (plagiat ?).
La version danoise par Shu-bi-dua sous le "Lulu rocken gar" ne manque pas de piquant, tout comme celle, dans la même langue de Lone Kellerman sous le titre "Gå Børge". Aimant visiblement la chanson, une troisième version danoise est chantée par Johnny Madsen & the Hal Bal Boys sous le titre "Johnny vaer go".
En suédois Ulf Landell a chanté "Jonny Gitarr", tandis que la Finlandaise Muska a bien évidemment chanté une version en finnois.
En allemand Peter Kraus chante "Go Billy go".
En espagnol, Los Ten Tops chantent "Ven, Johnny ven".
En norvégien Oystein Sunde a chanté "Johnny B. Goode pa sjukehjem".
Sur son album posthume paru en 2017, Chuck Berry chante une nouvelle version intitulée "Lady B. Goode".
A noter la version réalisée, en 1964, par les Surfer Girls, ce groupe féminin originaire de Staten-Island, mené par Lorraine Bonica et Janice Bartholomew, qui a modifié les paroles originales et chante sa propre version "Draggin' wagon".
Chronologiquement c'est, dans les versions de Chuck Berry, l'histoire de la même personne dans cet ordre : "Johnny B. Goode", "Bye Bye Johnny" "Go Go Go" et "Lady B. Goode".
Triste nouvelle que ce décès. Merci Morphée pour ce titre qui a marqué toute une génération. "Vous n'êtes pas encore prêts pour ce genre de trucs, mais vos gosses vont adorer". ^^
Et pour compléter l'excellent commentaire de mon voisin philippin, j'ajoute la version métallique de Judas Priest sur l'album Ram it down sortie en 1988.
Et on peut ajouter dans la série des reprises les pub-rockers anglais de Dr. Feelgood en 1976 (version live), Grateful Dead l'a très souvent jouée en concert (on trouve un enregistrement (parmi d'autres reprises toutes aussi bonnes) sur l'excellent album Grateful Dead (alias Skull and Roses alias Skullfuck, titre original refusé par le label) de 1971), et il en existe une reprise (enregistrée lors d'un concert à Sioux Falls, Dakota du Sud en juillet 1979) par Cheap Trick et Bon Scott (chanteur de AC/DC pour les trois au fond qui ne suivent pas).
Merde, je savais pas qu'il était mort.
Triste.
Dire que c'est la version de Marty qui m'a decidé à me mettre à la guitare, que ce morceau fait partie de mes sets list, et surtout ça finit toujours par partir en yeucou à chaque répète :D
un petit peu d'histoire pour les gratteux et non grateux
Marty joue sur une Gibson ES-345 TDC sortie en 59 debut 60, équipée d'un Bigsby, qui n'existait pas en 1955
petite erreur entre l'accessoiriste et la prod qui au depart devait utiliser une Gibson ES-5 Switchmaster
https://reverb.com/fr/news/the-true-story-of-the-t…
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