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Bill Medley: now i've had the time of my life
no i never felt like this before
yes i swear it's the truth
and i owe it all to you
Jennifer Warnes: 'cause i've had the time of my life
and i owe it all to you
Bill Medley: i've been waiting for so long
now i've finally found someone
to stand by me
Jennifer Warnes: we saw the writing on the wall
as we felt this magical fantasy
Ensemble: now with passion in our eyes
there's no way we could disguise it secretly
so we take each other's hand
'cause we seem to understand the urgency
Bill Medley: just remember
Jennifer Warnes: you're the one thing
Bill Medley: i can't get enough of
Jennifer Warnes: so i'll tell you something
Ensemble:this could be love because
(Refrain) Ensemble: i've had the time of my life
no i never felt this way before
yes i swear it's the truth
and i owe it all to you
Jennifer Warnes: with my body and soul
i want you more than you'll ever know
Bill Medley: so we'll just let it go
don't be afraid to lose control
Jennifer Warnes: yes i know whats on your mind
when you say:
“stay with me tonight.â€
Bill Medley: just remember
you're the one thing
Jennifer Warnes: i can't get enough of
Bill Medley: so i'll tell you something
Ensemble: this could be love because
(Refrain)
both: 'cause i had the time of my life
no i've never felt this way before
yes i swear it's the truth
and i owe it all to you
'cause i've had the time of my life
and i've searched through every open door
till i found the truth
and i owe it all to you
-instrumental-
Bill Medley: now i've had the time of my life
no i never felt this way before
(Jennifer Warnes: never felt this way)
Bill Medley: yes i swear it's the truth
and i owe it all to you
Ensemble: “cause i've had the time of my life
no i've never felt this way before
yes i swear it's the truth
and i owe it all to you
Ensemble: 'cause i had the time of my life
and i've searched through every open door
till i've found the truth
and i owe it all to you
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J'ai beaucoup de mal avec le passage instrumental "tatata-tatata", celui après le solo de saxo et avant que le refrain ne reprenne : j'aurais aimé un autre enchaînement que celui-ci qui est bien pourri, ou bien aurait-il fallu le jouer deux fois à la suite. Aussi, je me suis rendue compte que la voix masculine était bien celle de Bill Medley, des Righteous Brothers : on peut l'entendre sur leur single "You've Lost That Lovin' Feelin'".
J'ai du mal à me souvenir de la raison pour laquelle cette chanson et "She's like the wind" par Patrick Swayze, pourtant sorties en 1987 comme le film "Dirty dancing" ont davantage marché en single en France en 1991 / 1992 où elles ont été certifiées disques d'or en singles qu'en 1987. Il y a eu une ressortie de "Dirty dancing" au début des années 90, ou simplement une réédition discographique de l'album de la Bande Originale ?
@hug…
Énorme succès aux States à sa sortie en 1987, "Dirty Dancing" fut l'objet d'un flop retentissant dans l'hexagone avec seulement 394 327 entrées. Pourtant, la couverture médiatique était importante avec de nombreux reportages télévisés et des articles de journaux laudateurs qui promettaient un carton total pour le film.
Le magazine Top 50, dans une de ses rubriques, prévoyait déjà un raz-de-marée aussi bien au Top album qu'au Top single… Las ! Il n'en fut rien.
C'est sous l'effet d'un passage télé courant 1992 que les ventes de la bande originale (surtout des chansons qui en étaient issues) et les locations de la VHS se sont envolées. Résultat : ce single, ainsi que celui de Patrick Swayze, ont connu les honneurs du Top 50 français pas loin de 5 ans après la sortie du long métrage qui est maintenant devenu un film culte aux États-Unis comme en France ainsi que dans de nombreux autres pays.
Entre-temps, Patrick Swayze était devenu une star planétaire avec des films tels que "Ghost", "Point Break" ou encore "La cité de la joie"… ce qui a certainement contribué au succès de "Dirty Dancing" et de sa B.O après coup.
L'album s'est vendu à 32 millions d'exemplaires et le film a rapporté 214 millions de dollars pour un budget de 4 millions et demi.
Quant au réalisateur, Emile Ardolino, c'était alors son deuxième long métrage; le premier étant un film-documentaire oscarisé et réalisé en 1983 sur le chorégraphe américain Jacques d'Amboise.
Après "Dirty dancing", il en a dirigé trois autres dont "Sister Act" (succès colossal également avec 231 millions de recette).
Emile Ardolino est décédé du Sida en 1993 à l'âge de 50 ans, quatre jours avant la sortie de son dernier film "The Nutcracker" qui fut malheureusement un échec commercial.
À noter qu'au Québec, "Dirty Dancing" est sorti sous le titre "Danse lascive".
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