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Dreamed I was an eskimo
Frozen wind began to blow
Under my boots and around my toes
The frost that bit the ground below
It was a hundred degrees below zero…
And my mama cried
And my mama cried
Nanook, a-no-no
Nanook, a-no-no
Don't be a naughty eskimo
Save your money, don't go to the show
Well I turned around and I said oh, oh oh
Well I turned around and I said oh, oh oh
Well I turned around and I said ho, ho
And the northern lights commenced to glow
And she said, with a tear in her eye
Watch out where the huskies go,
and don't you eat that yellow snow
Watch out where the huskies go,
and don't you eat that yellow snow
Transcripteur : Dam-Dam
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
la blatteLe 11/11/2019
Extrait du monumental Apostrophe (') qui s'avère être son plus gros succès aux États-Unis, si l'on exclut Valley Girl.
#FZ4EVER
Une version en allemand est interprétée par Düsenflitz Der Partyblitz.
Extrait du monumental Apostrophe (') qui s'avère être son plus gros succès aux États-Unis, si l'on exclut Valley Girl.
#FZ4EVER
Petite erreur dans les paroles. Celles affichées sont celles la chanson issue de l'album, alors que le morceau que l'on peut entendre est la version dite "single", qui reprend une partie de "Don't eat the yellow snow", la majorité de "Nanook rubs it" et l'intro de percus de "St. Alfonzo's Pancake Breakfast". L'intégralité de ces 3 morceaux plus "Father O'Blivion" constituent ce que l'on appelle la "Yellow Snow suite".
Cette suite de 11 minutes est assez incohérente puisque après avoir parlé de l'eskimau qui se bat contre un chasseur de phoques qui a fait du mal à un bébé phoque (le dit chasseur étant aveuglé après que l'eskimau a frotté de la neige jaune sur ses yeux), l'histoire dérive sur un homme qui participe au fameux petit déjeuner de St. Alfonzo (on ignore si il est question de la paroisse où doit se rendre le chasseur pour retrouver la vue ou si il s'agit du saint lui-même) et sur un prêtre (le fameux "Father O'Blivion") qui prépare les fameux pancakes et évoque le saint dans un cri ("Oh Saint Alfonzo would be proud of me"). Les deux personnages vivent des aventures extravagantes, avec moults sous-entendus salaces (y compris sur les pancakes qualifiés de "sleazy").
Une version complète de la suite peut être entendue sur la double compilation live You can't do that on Stage anymore Vol. 1 parue en 1988. Cette version a été enregistrée à Londres en février 1979 et dure 20 minutes.
Il existe aussi un enregistrement live tiré d'un concert joué à Sydney en 1973 intitulé "Australian Yellow Snow" où l'histoire est plus cohérente puisque l'on suit le trappeur aveugle jusqu'à sa guérison, le temps écoulé entre l'application de margarine sur ses yeux et sa guérison étant passé à épeler le mot "margarine" (avec une orthographe complètement loufoque incluant des tirets) et à dire ce que représente chaque lettre. Cette version est parue sur l'album/compilation posthume One Shot Deal en 2008 et est suivie d'une interprétation (enregistrée aux USA en 1975) de "Rollo", un instrumental très abrégé sur la version album puisqu'on en entend essentiellement le thème principal dans la seconde moitié de "St. Alfonzo's Panceke Breakfast" dans cette configuration. Le nom "Rollo" vient des paroles que Zappa avait envisagées pour cette chanson, celles-ci racontant l'histoire d'un homme et de son chien (nommé Rollo) qui rencontrent un couple en pleins ébats, mais ia chanson fut rapidement transformée en instrumental et finira incorporée à la "Yellow Snow Suite".
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