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I'm goin' up the country, baby don't you want to go?
I'm goin' up the country, baby don't you want to go?
I'm goin' to some place, I've never been before
I'm goin' I'm goin' where the water tastes like wine
I'm goin' where the water tastes like wine
We can jump in the water, stay drunk all the time
I'm gonna leave this city, got to get away
I'm gonna leave this city, got to get away
All this fussin' and fightin' man, you know I sure can't stay
So baby pack your leavin' trunk
You know we've got to leave today
Just exactly where we're goin' I cannot say
But we might even leave the U.S.A.
It's a brand new game, that I want to play
No use in your runnin', or screamin' and cryin'
'Cause you got a home as long as I've got mine
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La chanson "Going up the country" fait partie de la bande sonore du film "Into the Wild" ( Vers l'inconnu au Québec), film américain réalisé par Sean Penn et sorti en 2007. Il est adapté du livre éponyme (Voyage au bout de la solitude dans la traduction française), écrit par Jon Krakauer en 1996, et relatant l'histoire réelle de Christopher McCandless, un aventurier américain né le 12 février 1968 à El Segundo en Californie et mort le 18 août 1992 sur la piste Stampede en Alaska.
Le titre est aussi inclus dans la bande originale du film "Taking Woodstock" ("Hôtel Woodstock") réalisé par Ang Lee et sorti en 2009.
« Après avoir passé de mauvais jours à Greenwich Village, l'architecte d'intérieur Elliot Tiber retourne dans le nord de New York vivre auprès de ses parents, propriétaires d'un motel, le El Monaco Motel, situé dans les Catskills où le jeune homme reprend ses activités de gérant. Son père a des problèmes financiers et risque la saisie de ses biens s'il ne peut payer l'assurance de son bâtiment et sa mère est une femme autoritaire et grippe-sous.
Par hasard, Elliot apprend qu'une ville voisine vient de refuser qu'un festival de musique (plus tard nommé Woodstock) se déroule sur ses terres. Propriétaire d'une licence l'autorisant à organiser un festival musical, Elliot appelle les producteurs et leur propose d'organiser le festival chez lui…
Dans les jours qui suivent, la vie d'Elliot Tiber et de la petite communauté tranquille où vivent ses parents va être complètement bouleversée. Les préparatifs du concert montent en puissance, les hôtels de la petite ville sont pris d'assaut et les voisins affichent leur hostilité contre Tiber et les hippies. Puis une foule de plus de cinq cent mille personnes va déferler vers les terrains de son voisin Max Yasgur, qui les a loués aux organisateurs »
Adaptation non créditée de Bull Doze Blues du chanteur de country blues Henry Thomas (1874-1930). Le morceau de Canned Heat reproduit fidèlement la mélodie et l'arrangement de l'enregistrement original de 1927, où Thomas chante et s'accompagne à la guitare et aux quills (flûte de pan afroaméricaine):
Les paroles de Canned Heat empruntent aussi au morceau Statesboro Blues (1928) de Blind Willie McTell (1989-1959).
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