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Fiche disque de ...
Jacques Valant - Napoléon
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Titre : Napoléon
Auteurs compositeurs : Jo Martens-Jacques Valant-C. Barbier-A. Decoster
Durée : 3 m 14 s
Label : Raphalaeti
Référence : 00119
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7 personnes
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Paroles
Napoléon avec ses blancs caleçons
C'était le roi des couillons
Il tirait sur tout ce qui bougeait
Cette espèce de grand dadais
Il tenait son cœur comme un bouquet de fleurs
Pour dire qu'il n'avait pas peur
Ses genoux claquaient comme des pistolets
Et pourtant il souriait
Quand il tuait un de ses adversaires
Sans le faire exprès il devenait tout vert
Il était jaloux et laid comme un pou
Avec ses yeux de hiboux
Il faisait la guerre comme un courant d'air
À la vitesse de l'éclair
Si il était flagada
C'est qu'il avait les pieds plats
Avec son nez comme une frite écrasée
On l'aurait bien embarqué au musée
Sa Joséphine avait la taille fine
Et faisait bien la cuisine
pour les soldats rien de tel qu'une rata
Ça vous met le moral à plat
Les bon rôtis, c'était pour les amis
Lui mangeait des spaghettis
Car pour courir sauver son empire
Il ne pouvait pas grossir
Au régiment, il servait ses soldats
Lui léchait ce qui restait dans les plats
Avec son cheval qui était bancal
Il ne perdait pas les pédales
Quand il tombait dans le camp des Anglais
C'est son cheval qui le ramassait
Si il était flagada
C'est qu'il avait les pieds plats
Avec son nez comme une frite écrasée
On l'aurait bien embarqué au musée
Mais Joséphine avec son regard de fouine
Flairait toujours les combines
Rien qu'Ã la voir il avait le cafard
À cause de son air bizarre
Les petites nanas, il en avait des tas
Sa femme ne savait pas ça
Car pour lui plaire entre deux guerres
Il se mettait les fesses en l'air
S'il ne faisait pas tous ses désirs
De temps en temps elle lui repassait le cuir
Napoléon avec ses blancs caleçons
C'était le roi des couillons
Il tirait sur tout ce qui bougeait
Cette espèce de grand dadais
Cette espèce de grand dadais
Transcripteur : méchant-dauphin
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Commentaires
Voir tous les commentaires
Ce disque est un peu à ce morceau ce que celui-ci est à celui-là .
amusant non?
Lâchez les clowns vient de passer en deuxième place dans mon classement des plus mauvais titres de la base. [Merci]
ca ressemble a jules Cesar
c'est crispant ces "hahahaha"
Il a pas intérêt à aller se ballader du coté d'Ajaccio, celui-là !
Haa, enfin la commémoration d'Austerlitz! Dommage que ça vienne des belges…
tout à fait d'accord avec fairybrother: ça m'ennerve vraiment ces rires! :S
les rires c'est pour montrer là où il faut rire :-/
Après (ou avant?) une chanson à la manière de Luis Mariano, une chanson à la manière de Maurice Chevalier. Quel artiste!
Entièrement d'accord avec rogre, sauf qu'à mon humble avis cette chanson serait plutôt une commémoration de Waterloo (la gare de Londres + poème d'Hugo) que d'Austerlitz (la gare de Paris).
qu'il vienne pas en corse lui sinon il ma morfler parole de Corsu
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